La Belgique, l’autre pays de l’entrisme islamiste sous couvert de féminisme intersectionnel

La polémique autour de la nomination d’Ihsane Haouach, femme musulmane voilée, en tant que commissaire du gouvernement fédéral à l’institut pour l’égalité des femmes et des hommes constitue un cas auquel la France sera probablement confrontée tôt ou tard. Affaire à suivre de près.

En France, nous avons à déplorer le noyautage de l’UNEF par la militance islamo-gauchiste1, la dérive — heureusement interrompue — de l’Observatoire de la laïcité sous l’égide du duo Jean-Louis Bianco-Nicolas Cadène2, le naufrage du Planning familial3 ou encore la mauvaise pente prise par la FCPE4. Notre voisin belge suit la même tendance, favorisée comme dans l’Hexagone par les mouvements politiques de gauche et, tout spécialement, le parti écologiste Écolo. C’est l’une de ses membres, la secrétaire d’État Sarah Schiltz, qui est ainsi à l’origine d’une nomination qui ne cesse, depuis un mois, de faire polémique : celle d’Ihsane Haouach, femme voilée, en tant que commissaire du gouvernement auprès de… l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes. Autant dire que, du point de vue des universalistes, il s’agit là d’une véritable provocation.

L’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes est une institution fédérale créée en 2002 avec pour objet de promouvoir et de veiller au respect de l’égalité entre les femmes et les hommes dans la société belge. L’Institut a aussi pour mission de lutter contre toute forme de discrimination selon le critère du sexe. L’objectif est d’ancrer cette égalité dans les pratiques et les mentalités. Pour cela, il mène des actions d’information et de sensibilisation, de soutien auprès de personnes victimes de discrimination et peut agir en justice. Le gouvernement y est représenté par un commissaire.

Ihsane Haouach est ingénieur diplômée de la prestigieuse Solvay Business School. Fille d’un diplomate marocain, elle fait carrière dans le secteur énergétique et notamment chez Engie et Alyna, et devient en 2020 administratrice du Brugel, l’autorité de régulation pour les marchés de l’électricité, du gaz et de l’eau à Bruxelles.

Le 1er juillet, lors du conseil d’administration de l’institut, le débat a été relancé quand Corentin de Salle, directeur scientifique du Centre Jean-Gol (le centre d’études du Mouvement réformateur, parti libéral de centre-droit en Belgique francophone), est intervenu pour demander à Mme Haouach de ne pas y siéger voilée. L’administrateur aurait expliqué, dès le début de la séance, et « au nom du MR », que c’était son droit de se vêtir comme elle l’entendait mais que, dans le cadre des réunions du conseil d’administration, elle siégeait en tant que représentante du gouvernement et violait ainsi le principe de neutralité. Ayant un « réel problème à ce qu’elle assiste voilée au CA », il lui a demandé dans la foulée de ne pas porter son foulard lors de sa participation au conseil d’administration ou de s’abstenir d’y siéger.

Tir de barrage du Mouvement réformateur

« Je m’attendais à un show, mais je ne pensais pas que ça allait être une agression personnelle, que j’allais recevoir un ordre. Cette attaque avait pour but de m’intimider, de me faire craquer », a-t-elle expliqué le 4 juillet au journal Le Soir, ajoutant : « Clairement, c’était une domination masculine envers une femme, il ne se serait jamais permis ce ton-là avec un homme. Je sentais vraiment une oppression, une tentative de domination. J’ai toujours voulu croire que c’était un débat sur la neutralité. Mercredi, j’ai compris que c’est un débat qui a un fond sexiste et raciste. » Sa réaction, sans surprise, s’appuie sur son statut de femme musulmane pour invoquer le racisme et le sexisme de quiconque lui contestera le droit porter un signe religieux ostensible dans le cadre de fonctions de représentation qui, pourtant, devraient commander la stricte neutralité. La rhétorique de victimisation classique démonise le contradicteur tout en dispensant de répondre à son argument de fond.

Comme l’a ensuite rappelé Georges-Louis Bouchez, président du Mouvement réformateur, Ihsane Haouach parle ici de racisme comme si, implicitement, l’islam était spécifiquement visé, ce qui revient à ignorer que « le combat pour la neutralité et la sécularisation de la société a débuté il y a plusieurs siècles à l’égard du catholicisme. Cela n’a donc rien à voir avec le voile mais bien avec tous les signes convictionnels qu’ils soient religieux, philosophiques et politiques ». Par ailleurs, a-t-il ajouté, « c’est ahurissant de résumer le port de signes convictionnels à un signe convictionnel qu’une religion réserve aux femmes. Le simple fait que ce signe convictionnel soit réservé aux femmes peut certainement être analysé comme sexiste mais pas le fait de le viser au même titre qu’une croix, une kippa ou un t-shirt d’un parti politique ».

Mme Haouach est cependant allée plus loin, en déclarant : « La discussion n’est pas : est-ce qu’on remet en cause la séparation de l’Eglise et de l’Etat ? C’est : comment la décline-t-on avec un changement démographique« . Elle situe donc sa réponse dans le cadre d’une dynamique de transformation démographique du pays qui inviterait à questionner la validité de principes bâtis dans un contexte sociologique antérieur et différent. Étonnante par sa franchise, sa position n’a pas tardé à faire de nouveau réagir Georges-Louis Bouchez, qui a rappelé que « cette théorie selon laquelle il faut faire évoluer des valeurs fondamentales au nom de l’évolution démographique est une base de l’argumentation haineuse de l’extrême droite qui appuie sa théorie du remplacement, que nous rejetons, sur cette idée inacceptable […] C’est une vision communautariste de la société qui considère que les opinions ou sensibilités des individus sont le fruit de leur communauté et non de leur libre arbitre. »

Leçon de féminisme intersectionnel

Dans la tribune en forme de journal intime que Le Soir a publiée, Ihsane Haouach livre son état d’esprit au lendemain du premier jour de tempête médiatique. Elle parle de « fondamentalistes de la laïcité » et d’« extrémistes de tout bord » la jetant en pâture, radiographiant ses origines et son mode de vie, relevant chaque détail potentiellement à charge : « Une vraie chasse aux sorcières, où le bûcher est digital. »

« Pendant que je suis assise là, je deviens l’objet d’un débat médiatique, je deviens une polémique politique. Je ne suis plus, je n’existe plus en tant que personne, en tant qu’Ihsane Haouach. Je deviens un nom, un symbole… », déplore-t-elle, comme si une femme si brillante pouvait avoir la naïveté d’ignorer qu’elle allait nécessairement devenir un symbole, un instrument et même une arme de combat idéologique et politique.

« Je me rappelle m’être promis de ne plus jamais verser une larme pour ces gens-là, écrit-elle encore. Ceux qui m’accusent sans me connaître, qui me jugent sans me voir. Ce jour où j’étais dans cet auditoire, où un professeur m’ordonna un choix impossible : ôter une partie de mon identité ou renoncer à mes études, mes ambitions, mon avenir. Ce jour où l’autorité a bafoué les droits humains par croyance d’un principe supérieur. Ce jour où on a enlevé mon humanité pour me voir comme un symbole. A coup d’encouragements intérieurs — ‘Reste forte, reste digne, ne faiblis pas’ —, j’ai dialogué, écouté, argumenté. Ce fameux jour, j’avais tenu bon en public… mais craqué en privé. Trop de larmes avaient coulé. Mes yeux s’étaient vidés, mon cœur s’était serré, ma respiration s’était arrêtée. L’émotion était tellement forte que j’avais découvert le phénomène de dissociation. Je me voyais dans cet auditoire, j’étais spectatrice d’un triste événement pour nos libertés.
Ce jour-là, j’avais décidé de ne plus jamais laisser qui que ce soit m’abattre. Je suis Ihsane, je suis forte, je suis moi. Personne ne me définit, personne ne m’est supérieur et jamais, au grand jamais, je ne demanderai l’autorisation à qui que ce soit, pour faire quoi que ce soit. »

Sauf que le problème tient à l’ambiguïté dans laquelle elle situe sa revendication identitaire. Ihsane Haouach développe une rhétorique romanesque de l’héroïne triomphant seule de ses handicaps de femme racisée face à l’ordre patriarcal blanc, sortant brisée et reconstruite à la fois, régénérée pour poursuivre sa quête d’émancipation individuelle, mais on voit sans mal, derrière ce discours qui fera rêver toutes les jeunes filles — musulmanes ou non — partageant déjà sa condition de femme, pointer le message de la porte-parole communautaire dont le voile est devenu un étendard politique, matérialisation du dépassement des entraves et de l’humiliation. Qu’elle ne fasse pas croire, après s’être si ouvertement livrée, qu’elle n’a pas répondu à l’invitation de Sarah Schiltz pour défendre, d’abord, toutes les Ihsane de Belgique (qui n’ont pas toutes la chance d’être filles de diplomate) et, derrière elles, être l’agent zélé des plus fervents défenseurs de l’inégalité entre les femmes et les hommes ?

Là se trouve la magique imposture de l’intersectionnalité : elle permet, du seul fait de l’appartenance à une minorité « dominée », de se permettre tous les sophismes. Elle permet en l’espèce, par l’invocation systématique d’une oppression réelle ou supposée, de se présenter avec un signe religieux démonstratif, un badge d’altérité revendiquée, dans un lieu et dans des fonctions où la neutralité devrait être de mise, et d’esquiver toute objection en osant répondre : « C’est une partie de mon identité qui n’a pas à être débattue publiquement ni à être justifiée. Je ne viens pas parler de religion, moi. Ça, c’est une présomption, un stéréotype qu’on a. On pense que parce que je porte le foulard, je parle religion. Je travaille depuis quinze ans, je n’ai jamais parlé religion sur le lieu de travail, même quand on me poussait à le faire. Parce que justement, je veux être plus clean que clean. »

À un autre moment, Ihsane Haouach déclare aussi : « La question n’est pas : est-ce qu’on peut porter des signes convictionnels. C’est : qu’est-ce que la neutralité et comment se décline-t-elle ? Ce que je défends, ce n’est pas le port du foulard, c’est la liberté de choix ! Je ne suis pas pro-foulard, je n’ai jamais essayé de convaincre qui que ce soit de mettre ou de garder le foulard. Je n’émets pas de jugement. »

Ce qu’elle feint d’ignorer ou cherche à (faire) oublier, c’est qu’elle n’a pas besoin de « parler religion » ou « liberté de choix » pour une raison simple : son voile « parle religion » à sa place, qu’elle le veuille ou non ; non seulement il « parle religion » mais il crie silencieusement que la loi des croyants est supérieure à la loi commune. Alors, au bout du compte, ce ne sont pas les principes de neutralité, d’égalité ou de laïcité qui sont en cause, c’est bien le voile, avec ce qu’il charrie aux plans religieux et politique, qui pose problème. Voilà le postulat duquel elle devrait partir pour, ensuite, selon son choix, se découvrir et s’assimiler pleinement aux principes que l’Institut pour l’égalité est supposé défendre, ou bien l’assumer et chercher, d’elle-même, d’autres fonctions et d’autres lieux pour mener ses combats.

Entrisme communautaire

Vœu pieux, bien entendu, car on voit mal comment Ihsane Haouach renierait les convictions qu’elle partageait ouvertement dans un rapport publié il y a juste un an par le European Forum Of Muslim Women (EFOMW), ONG fondée par les Frères musulmans en tant que branche « femmes » de la Federation of Islamic Organizations in Europe (FIOE), la coupole de l’organisation islamiste « modérée » en Europe. « Il nous faut cependant nous battre et nous unir pour revendiquer [nos droits], affirmait-elle alors. Le point négatif est que malheureusement notre communauté est à la traîne, nous sommes une réelle force politique mais nous ne sommes pas unis, il n’existe pas de véritable lobby. Il n’y a qu’à regarder les dernières élections politiques et le nombre de musulmans qui ont élu des représentants de partis politiques qui ont voté des lois qui ne sont pas en faveur des musulmans (abattage rituel, voile, cours de religion, …). Nous ne sommes pas du tout organisés pour faire pression. »

« Force polique », « lobby », « faire pression »… un discours de militant que les Frères musulmans ne renieraient pas et qui fait tache aujourd’hui pour une représentante du gouvernement fédéral de Belgique. Aussi n’est-il pas totalement surprenant que ces termes trop gênants aient été « effacés » par le EFOMW au profit d’une nouvelle mouture publiée en juin dernier, juste après que le texte initial eut été révélé par l’Observatoire des fondamentalismes de Bruxelles :

À gauche, l’extrait de la version originale du rapport du EFOMW et, à droite, celui de la version édulcorée en juin dernier.

Aux dernières nouvelles, la polémique ne désenfle pas. Des partis d’opposition, dont l’extrême-droite, demandent l’audition d’Ihsane Maouach devant la Chambre. Quelle que soit l’issue de cette affaire, elle sera riche d’enseignements pour un pays qui, comme la France, est périodiquement confronté à ce type de mise à l’épreuve de ses principes fondamentaux.

__________
1. Pour Le Figaro, Paul Melun, ancien président de l’UNEF à Sciences Po Bordeaux a observé, au fil des années, l’évolution idéologique de son syndicat. « À l’époque, c’étaient le Parti socialiste et le Parti communiste qui tenaient l’UNEF. Maintenant, ce syndicat est devenu un animal sans tête qui se balade. En interne, il est l’objet de luttes et d’influence pour des lobbys de l’islam politique et des combats intersectionnels », juge-t-il. Cet ancien se rappelle d’un temps pas si lointain où l’UNEF « parlait encore de sujets de fond »« On évoquait la précarité étudiante, la sélection à l’université, les maquettes pédagogiques. J’ai assisté aux prémices de ce qu’est devenu l’UNEF aujourd’hui et j’ai rapidement décidé de partir », se rappelle-t-il. Un autre ancien militant raconte également ce changement idéologique de l’UNEF. « Il y a eu un basculement progressif du social vers le sociétal. L’UNEF a commencé à s’intéresser à la transphobie, à la non-mixité, à l’hétéronormativité. Il y avait aussi une véritable obsession pour la cause palestinienne et un antisionisme très important. Elle s’est éloignée petit à petit de la question des étudiants et a eu de moins en moins d’adhérents », se souvient-il. Avant de franchir un cap lors de la présidence de François Hollande, entre 2012 et 2017. « À cette période, les tendances minoritaires d’extrême gauche ont pris du poids et se sont montrées virulentes envers la majorité nationale. William Martinet, président du syndicat à l’époque, ne voyait plus comment maintenir l’unité en interne. Il y a eu une véritable radicalisation », témoigne cet ancien.
2. Dans Le Point, Caroline Fourest témoignait, en avril dernier, du phénomène délétère qui a frappé l’institution : « Dès le départ, Jean-Louis Bianco […] a considéré qu’il n’y avait ‘aucun problème’ en matière de la laïcité […]. Il a persisté dans le déni, au point de prendre en grippe les associations laïques qui ne partageaient pas ce point de vue et de se rapprocher d’organisations douteuses, plus œcuméniques que laïques, travaillant main dans la main avec les Frères musulmans. Un compagnonnage qui s’est vu au lendemain de l’attentat du Bataclan, lorsque Jean-Louis Bianco et Nicolas Cadène ont relayé un appel invitant à ne pas ‘faire d’amalgames’ en compagnie du gratin de l’islam politique, le CCIF, le rappeur Médine et plusieurs figures bien connues des Frères musulmans ! Au lieu de reconnaître son erreur de jugement, Jean-Louis Bianco s’est enfoncé, refusant jusqu’à tout récemment de prendre parti contre le mot ‘islamophobie’. Très actif sur Twitter, son numéro deux, Nicolas Cadène, a même encouragé les meutes du CCIF à s’en prendre à Élisabeth Badinter pour avoir déclaré qu’elle refuse d’être intimidée au nom de ‘l’islamophobie’. »
3. Fin octobre 2019, le congrès de Niort, a sans doute constitué l’événement le plus visible de la tension entre la ligne historique du mouvement, qui défend un féminisme universaliste, et l’influence croissante du féminisme intersectionnel. Une note préparée en amont et dévoilée par Charlie Hebdo appelait les membres à se positionner par rapport à trois perspectives — universaliste, intersectionnelle, mixte. L’orientation ouvertement intersectionnelle, sans détour, considérait que « l’uni­ver­sa­lisme exclut des personnes en raison de leurs croyances reli­gieuses, de leur habille­ment et de leur appa­rence », que « les mili­tantes, béné­voles et sala­riées du Plan­ning doivent être conscientes des crimes et des effets du colo­nia­lisme, de leurs privi­lèges et du pouvoir qui en découle ». Il s’attaquait à « l’argumentaire raciste [qui] peut souvent s’appuyer sur des valeurs féministes » — une manœuvre classique pour empêcher par exemple la critique du voile comme symbole sexiste — et appelait à « travailler sur la blanchité [du] mouvement« . Point d’orgue de ce raisonnement, une critique de la laïcité, « un principe d’organisation de la société, pas une fin en soi », accusée de laisser s’exprimer « le racisme et l’islamophobie », conduisait à mettre au vote le retrait du terme « laïcité » de la charte du Planning familial, votée en 2016. Il fallut l’intervention de Marlène Schiappa et la menace du retrait de la généreuse subvention du gouvernement pour que l’orientation de compromis soit finalement adoptée, revendiquant « un fémi­nisme univer­sa­liste s’ar­ti­cu­lant avec le cadre d’ana­lyse de l’in­ter­sec­tion­na­lité ». Depuis, le Planning familial évolue sur ce paradigme bancal au nom duquel sont justifiées les collaborations avec de nombreuses associations dont la proximité avec des mouvements islamistes — peu réputés pour leur féminisme — ne semble poser aucun cas de conscience.
4. Alors qu’elle était réunie pour son congrès annuel ce week-end à Albi, rapporte Le Figaro, la FCPE a de nouveau été épinglée sur les réseaux sociaux pour des propos polémiques au sujet de la laïcité. Dans un tweet supprimé depuis par le compte Twitter du premier syndicat de parents d’élèves, une phrase prononcée par sa co-présidente Carla Dugault lors de son discours au congrès samedi était rapportée comme suit : « L’atroce assassinat de Samuel Paty a démontré avant toute chose [sic] que l’école telle qu’elle est, ne répond plus collectivement à faire vivre la laïcité et des échanges pacifiés dans la communauté éducative. »

Auteur : Gabriel des Moëres

Vieux gaulliste, républicain exigeant, humaniste et conservateur.

Un commentaire

  1. Bonsoir.
    Si l’on avait pas tout laissé faire, depuis bien 40 ans, maintenant, et pour nous, en France, en tout cas, on en serait pas là..désolé.
    Le fait d’avoir trop laissé faire, depuis le 1er mandat de Mr. François Mitterrand, c’est-à-dire depuis..1981, et à force d’avoir voulu acheter une fausse paix sociale(cette soit-disant..paix sociale..) qui n’a jamais existé, on a favorisé, non seulement par le biais de ce regroupement des familles, comme surtout l’acceptation de cette immigration massive (à des fins électorales et d’électeurs..tous partis confondus..), la montée de l’islam et de cet islam « radical » et politique (depuis 20 ans..), voilà tout.
    (La montée de l’islam, en France, a commencée à partir de 1983-1984, et..vérifiable !..)
    Aujourd’hui, il ne faut ni être étonné, encore moins..surpris !
    A cela j’ajouterai cette politique de l’immigration, voulue par l’Europe de Bruxelles, et favorisée par un certain Juncker et Mme. Angela Merkel jusqu’ici..
    L’immigration massive n’est qu’un jeu de dupe, pour aller toujours plus en avant, dans ce fait nouveau et non innocent, du remplacement des peuples, par l’immigration, et voulue par cette oligarchie mondiale, et ce Nouvel Ordre Mondial..sans plus.
    Bonne soirée, à vous, respectueusement..Denis.

    P.S.: les différents attentats, dont de 2015 et 2016, et avec ces djihadistes venus de la banlieue et du quartier de Molenbeck, nous ont donné un aperçu pour toutes ces craintes, et formes de craintes à venir..pas rien.

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